Name: BE SMART, L’heure de la protestation électorale
Uploaded: 2022-04-26T18:10:40.759259+02:00
Duration: 20 min 16 s
Description: Mardi 26 avril 2022, BE SMART reçoit Dominique Reynié (directeur général, Fondation pour l’innovation politique)

Une heure de débats et d’entretiens autour des grandes mutations économiques.
Startupper, experts ou grands patrons, ils nous expliquent comment l’actualité économique impacte le développement de leur business et leurs décisions.

BE SMART, l’émission qui donne la parole aux entrepreneurs.

BE SMART

Mardi 26 avril 2022, BE SMART reçoit Myrto Tripathi (Présidente, "Les Voix du Nucléaire")

Face à la crise électrique qui touche le pays, Emmanuel Macron a annoncé des mesures pour y remédier. Il s'agit notamment de relancer les investissements dans les infrastructures et de soutenir l'innovation technologique. Le président français a également promis de mettre en place un plan de relance pour les entreprises touchées par la crise. Enfin, il a souligné l'importance de la transition énergétique et du développement durable pour assurer une croissance durable et réduire les conséquences négatives sur l'environnement.

Emmanuel Macron face à la crise électrique

La reprise économique post Covid-19 et la guerre en Ukraine ont mis sous tension le réseau électrique français. Pour répondre à la demande en énergie tout en respectant les objectifs climatiques de l’UE, Emmanuel Macron souhaite construire six EPR d’ici à 2050, auxquels pourront s’ajouter huit autres supplémentaires.

Emmanuel Macron face à la crise électrique 

Interview

L'interview de Myrto Tripathi ("Les Voix du Nucléaire") par Stéphane Soumier

Mardi 26 avril 2022, BE SMART reçoit Dominique Reynié (directeur général, Fondation pour l’innovation politique)

Les élections sont un moment important pour les citoyens, qui peuvent ainsi exprimer leurs opinions et leurs choix politiques. La protestation électorale est devenue une revendication de plus en plus présente, que ce soit par des manifestations ou des boycotts. Les raisons à cette prise de parole sont multiples : dénonciation des inégalités sociales, mécontentement face aux résultats des scrutins, etc. La protestation électorale est donc un moyen pour les citoyens d'exprimer leur opinion et leur volonté politique.

La protestation électorale : une revendication de plus en plus présente

Lors du second tour de l'élection présidentielle 2022, 28% des inscrits ne se sont pas rendus aux urnes, du jamais vu depuis 1969 (31%). Ce taux d’abstention record marque une importante défiance de l'électorat vis-à-vis des politiques. La dernière élection présidentielle a aussi permis aux partis jugés extrémistes d’engranger d’importants scores électoraux (23% pour Marine Le Pen et 22% pour Jean-Luc Mélenchon). Selon certains politologues, les électeurs semblent davantage utiliser leur droit de vote pour protester contre le pouvoir plutôt que pour "adouber" leur futur dirigeant.

L’heure de la protestation électorale

L'interview de Dominique Reynié (Fondation pour l’innovation politique) par Stéphane Soumier

Mardi 26 avril 2022, BE SMART reçoit Thibault Lanxade (Président-directeur général, groupe Luminess)

Le président Macron a récemment annoncé son intention de mettre en place un dividende salarié. Ce dispositif permettrait aux salariés d'obtenir une part des bénéfices de leur entreprise, ce qui pourrait contribuer à améliorer leur pouvoir d'achat. Cependant, certains craignent que cela ne soit pas suffisant pour compenser la hausse des prix et que cela ne profite qu'aux plus riches. De plus, il est possible que cette mesure entraîne une baisse des investissements et des emplois dans certaines entreprises.

Macron 2.0 : le dividende salarié à l'ordre du jour ?

Réélu confortablement dimanche 24 avril, Emmanuel Macron va pouvoir lancer les grands chantiers de son prochain quinquennat. Sur le volet économique, le président de la République souhaite mettre en place un « dividende salarié », qui obligerait les entreprises bénéficiaires à verser une prime à leurs salariés. Si dans les faits un tel projet devrait augmenter le pouvoir d’achat des salariés français et leur implication dans leur entreprise, il pourrait aussi contrarier les actionnaires qui risquent leur propre capital sans garantie de résultats.

L’heure de la protestation électorale

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