Name: SMART SHORTS, Comment épargner avec la règle du 50-30-20 ?
Uploaded: 2023-07-03T00:00:00+02:00
Duration: 1 min
Description: SMART SHORTS du 3 juillet 2023

Regards croisés des experts de B SMART sur des thématiques complexes : comment décarboner l’industrie ? Quelles pistes pour un numérique responsable ? Comment multiplier les rôles modèles féminin ? Comment encourager les femmes à s’emparer de leurs finances personnelles ?
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SMART SHORTS

Le couple rendement risque est un concept essentiel à connaître. Il exprime le lien entre le niveau de risque d'un placement et sa rentabilité potentielle. Plus le risque est élevé, plus le rendement attendu est élevé, et inversement. Mais comment déterminer son profil de risque et choisir le placement adapté à ses objectifs ?

La première chose à prendre en compte est le montant que vous souhaitez épargner. Si vous disposez d'une épargne importante, vous pouvez vous permettre de diversifier vos placements et d'allouer une partie de votre capital à des produits plus risqués, mais aussi plus rémunérateurs.

En revanche, si votre épargne est limitée, il est préférable de privilégier des placements sûrs et peu volatils, qui garantissent votre capital. 

La deuxième chose à considérer est votre profil de risque. Il s'agit de votre capacité à accepter les fluctuations de la valeur de votre placement et à supporter une éventuelle perte en capital. Votre profil de risque dépend de plusieurs facteurs, tels que votre âge, votre situation personnelle et professionnelle, vos objectifs financiers et votre horizon de placement.

On distingue généralement trois grands profils de risque : prudent, équilibré et dynamique. Un investisseur prudent cherche à préserver son capital et se contente d'un rendement modeste. Il privilégie les placements sans risque ou à faible risque. Un investisseur équilibré cherche à optimiser son rendement tout en maîtrisant son risque. Il diversifie ses placements entre des produits sûrs et des produits plus exposés aux fluctuations du marché. Un investisseur dynamique cherche à maximiser son rendement quitte à prendre des risques importants. Il investit principalement dans des produits à fort potentiel de croissance, mais aussi à forte volatilité.

Comment choisir son placement en fonction du couple rendement risque ?

Finance perso

Finance perso du lundi 3 juillet 2023

Apple veut séduire les consommateurs américains avec un produit financier avantageux, lié à son écosystème et à sa carte bancaire virtuelle.

Apple ne se contente pas de vendre des smartphones, des ordinateurs ou des montres connectées. Elle veut aussi investir le secteur de la finance, en proposant des services bancaires innovants et attractifs. Après l'Apple Card, lancée en 2019 en partenariat avec la banque Goldman Sachs, Apple a dévoilé il y a quelques mois un livret d'épargne, rémunéré à 4,15 %.

Ce taux est nettement supérieur à celui du livret A français, qui est actuellement de 3 %. 

Ce livret d'épargne n'est disponible qu'aux Etats-Unis, et il faut obligatoirement avoir un compte Apple et une Apple Card pour y accéder. Il se gère depuis l'application Wallet, sur iPhone.

Le fonctionnement du livret d'épargne Apple est simple : il permet de faire fructifier les dépenses effectuées avec l'Apple Card, qui offrent des cashbacks selon le type d'achat. 

Ainsi, on reçoit 1 % de cashback pour un achat avec la carte, 2 % pour un paiement sans contact, et 3 % pour un achat de produits ou de services Apple.

Ces cashbacks sont automatiquement versés sur le livret d'épargne, où ils bénéficient du taux de 4,15 %. On peut aussi alimenter le livret avec des fonds supplémentaires.

Ce livret est sans frais de gestion, sans dépôt minimum, et n’impose pas de solde minimum. Il est donc accessible à tous les détenteurs d'un compte Apple et d'une Apple Card. Toutefois, il faut savoir que le taux de rémunération peut varier à tout moment, selon les conditions du marché. 

Avec ce livret d'épargne, Apple renforce son écosystème et fidélise ses clients, en leur offrant un produit financier avantageux et facile à utiliser. L'entreprise espère ainsi se positionner comme un acteur majeur de la finance numérique.

Les ambitions d’Apple dans le domaine de la finance

Le cashback, ou le remboursement d'une partie des achats en ligne, est une tendance qui gagne du terrain en France. Ce système de fidélisation permet aux consommateurs de bénéficier de réductions sur leurs dépenses, tout en profitant d'un large choix de produits et de services.

Le cashback est un mécanisme qui consiste à reverser aux clients une partie du montant de leurs achats effectués sur des sites de e-commerce ou avec leur carte bancaire. Le taux de remboursement varie selon les enseignes, mais il se situe généralement autour de 5%, pouvant atteindre 10% ou même plus de 15% dans certains cas. Selon iGraal, une plateforme spécialisée dans le cashback, les utilisateurs pourraient économiser en moyenne 120 euros par an.

Pour bénéficier du cashback, il faut s'inscrire sur un site partenaire des marchands, comme iGraal, Cashstore, Poulpeo…. Ces sites proposent des offres de cashback dans de nombreuses catégories : voyages, électroménager, maison & jardin, sport, fleurs, alimentation... On y trouve plus de 1600 partenaires différents, parmi lesquels Cdiscount, Carrefour, Ikea ou Monoprix.

Une fois inscrit, il suffit de passer par le site partenaire pour accéder aux sites marchands et effectuer ses achats. Le cashback est alors crédité sur le compte du client dans un délai d'un à trois mois. Lorsque la cagnotte atteint un seuil minimum (souvent 20 euros), le client peut demander un virement sur son compte bancaire ou opter pour des chèques cadeaux.

Des banques se lancent aussi dans le cashback

Le cashback n'est pas réservé aux sites spécialisés. Certaines banques proposent également ce service à leurs clients. C'est le cas de LCL, Société Générale, la Banque Postale ou encore la BNP. Ces banques s'associent à des réseaux de partenaires pour offrir du cashback aux détenteurs de leurs cartes bancaires. Le principe est le même : il faut activer l'offre de cashback sur le site ou l'application de la banque, puis payer avec sa carte chez le partenaire. Le cashback est ensuite versé sur le compte du client.

Le cashback, une pratique qui séduit les Français

Vous avez peut-être de l'argent qui dort sur des comptes inactifs sans le savoir. En France, il existe plusieurs milliards d'euros qui attendent d'être réclamés par leurs bénéficiaires. Il peut s'agir d'une assurance vie, d'un compte bancaire, d'un livret d'épargne ou encore d'un plan d'épargne retraite.

Ces comptes sont considérés comme inactifs lorsqu'ils n'ont pas été utilisés pendant une certaine durée, généralement 10 ans. Passé ce délai, les fonds sont transférés à la Caisse des Dépôts, un établissement public qui les conserve pendant 20 ans supplémentaires.

Pour savoir si vous avez droit à une partie de cet argent, vous pouvez effectuer une recherche gratuite sur le site Ciclade de la Caisse des Dépôts. Ce site vous permet de vérifier si votre nom figure parmi les bénéficiaires potentiels de ces comptes inactifs.

Pour effectuer cette recherche, vous devez renseigner le plus d'informations possibles sur le compte concerné, comme le nom du titulaire, le numéro du compte, le nom de la banque ou de l'organisme financier, etc.

Si votre recherche aboutit à un résultat positif, vous devez alors créer un compte sur le site Ciclade et faire une demande de restitution des fonds. Vous devrez fournir des pièces justificatives pour prouver votre identité et votre qualité de bénéficiaire.

La Caisse des Dépôts examinera votre demande dans un délai de trois mois et vous informera de sa décision. Si elle est favorable, vous recevrez l'argent sur votre compte bancaire.

Comment récupérer de l'argent oublié sur des comptes inactifs ?

Le mouvement FIRE, pour Financial Independence Retire Early, est une tendance qui séduit de plus en plus de personnes, notamment  la génération Y. Il s'agit de vivre de manière frugale, d'épargner une grande partie de ses revenus, et d'investir dans des placements rentables, afin d'atteindre l'indépendance financière et de pouvoir arrêter de travailler avant 40 ans.

Ce mode de vie, né aux Etats-Unis dans les années 90, a été popularisé par le livre Your Money or Your Life, de Vicki Robin et Joe Dominguez.

En France, le mouvement FIRE connaît un regain d'intérêt avec la réforme des retraites. Mais comment faire pour adopter ce style de vie et quels sont les avantages et les inconvénients ? 

Les quatre étapes clés du mouvement FIRE 

- Réduire son train de vie et ses dépenses : il s'agit de supprimer tout ce qui n'est pas essentiel, comme les sorties, les restaurants, les loisirs coûteux, etc. L'objectif est de se contenter du minimum.

- Augmenter son taux d'épargne : plus on épargne, plus on se rapproche de l'indépendance financière. Le taux d'épargne idéal est entre 50 et 80% de son salaire. Pour y parvenir, il faut optimiser ses revenus au maximum.

- Mettre en place un programme d'investissement performant : il ne suffit pas d'épargner, il faut aussi faire fructifier son argent. 

- Adapter son mode de vie une fois retraité : une fois que l'on a atteint l'indépendance financière, on peut arrêter de travailler et profiter de sa liberté. Mais il faut aussi continuer à gérer son budget et à faire fructifier son argent ! 

Le mouvement FIRE n'est pas une solution miracle, mais plutôt une philosophie qui invite à repenser sa relation à l'argent et au travail.

Mouvement FIRE : vers la retraite à 40 ans ? 

Vous avez envie de partir en vacances, mais vous craignez de dépenser trop ? Pas de panique, il existe des astuces simples pour gérer votre budget et profiter de votre séjour sans vous ruiner.

Voici nos conseils pratiques pour préparer et maîtriser votre budget vacances.

Avant de partir, il faut avoir une idée claire du budget dont vous disposez pour vos vacances. Pour cela, vous pouvez faire une liste des frais fixes, comme le logement, le transport, les assurances, etc. Ensuite, vous pouvez estimer le coût des activités que vous souhaitez faire sur place, en les classant par ordre de priorité. N'oubliez pas de prévoir un budget pour la nourriture, les sorties, le shopping, etc.

Une fois que vous avez défini le budget global, vous pouvez le répartir par jour, en fonction de la durée de votre séjour. Cela vous permettra d'avoir une vision claire de ce que vous pouvez dépenser chaque jour, et de ne pas dépasser votre limite. Vous pouvez aussi vous fixer un objectif d'économie par jour, en mettant de côté une partie du budget quotidien.

3. Utiliser un compte dédié aux vacances

Pour faciliter la gestion de votre budget vacances, vous pouvez ouvrir un compte bancaire ou un espace dédié sur votre application bancaire, où vous transférez la somme que vous avez prévue pour vos vacances. Ainsi, vous pourrez suivre facilement vos dépenses et voir ce qu'il vous reste à dépenser. De plus, si vous partez à l'étranger, vous pouvez choisir une banque en ligne qui ne facture pas de frais bancaires à l'étranger.

Pour réduire vos dépenses en vacances, il est conseillé d'anticiper et de comparer les prix des différents services que vous allez utiliser. Par exemple, vous pouvez réserver votre logement et votre transport à l'avance, en profitant des offres promotionnelles ou des tarifs réduits. Vous pouvez aussi comparer les prix des activités sur place, en utilisant des sites ou des applications spécialisés. Enfin, vous pouvez opter pour des solutions économiques, comme le covoiturage, le camping, les visites gratuites, etc.

Gérer son budget en vacances ne signifie pas se priver de tout et se stresser. Le but est de profiter de votre séjour et de vous faire plaisir, tout en respectant vos moyens financiers. Pour cela, vous pouvez vous accorder quelques extras, en utilisant la marge d'erreur que vous avez prévue dans votre budget global. Vous pouvez aussi profiter des petits plaisirs gratuits ou peu coûteux, comme la nature, la culture, les rencontres, etc.

En suivant ces conseils pratiques, vous pourrez gérer votre budget en vacances sans difficulté et passer un séjour agréable et serein.

Comment gérer son budget en vacances : nos conseils pratiques

Cette méthode d'épargne, popularisée par une sénatrice américaine, vous permet de classer facilement vos dépenses et de mettre de l'argent de côté tous les mois. Découvrez comment la mettre en pratique.

Vous avez du mal à épargner ? Vous ne savez pas comment gérer votre budget ? Peut-être que la règle du 50-30-20 pourrait vous aider. Il s'agit d'une technique simple et efficace pour répartir vos dépenses en fonction de vos revenus mensuels. Voici comment l'appliquer en trois étapes.

Étape 1 : calculez votre revenu net mensuel

La première chose à faire est de déterminer combien vous gagnez en net par mois. Pour cela, il faut additionner tous vos revenus : salaire, aides, allocations, etc. C'est le montant de base sur lequel vous allez vous appuyer pour répartir vos dépenses.

Étape 2 : listez vos dépenses habituelles

Ensuite, il faut faire le point sur vos dépenses courantes : loyer, charges, courses, sorties, etc. 

Étape 3 : classez vos dépenses en trois catégories

La règle du 50-30-20 consiste à diviser vos dépenses en trois catégories, selon leur importance et leur utilité.

La première catégorie regroupe les dépenses indispensables, c'est-à-dire celles qui sont nécessaires pour vivre : logement, nourriture, électricité, etc. Ces dépenses doivent représenter au maximum 50 % de votre revenu net mensuel.

La deuxième catégorie concerne les dépenses liées à vos envies, c'est-à-dire celles qui sont agréables mais pas essentielles : restaurant, cinéma, shopping… Pour cette catégorie, vous pouvez consacrer 30 %. 

La troisième catégorie correspond à votre épargne, c'est-à-dire l'argent que vous mettez de côté chaque mois pour préparer l'avenir ou réaliser des projets : livret A, assurance-vie, PEL, etc. Et pour l’épargne, vous pouvez consacrer 20% de votre revenu net mensuel.

Attention à bien respecter les proportions ! Ne confondez pas les dépenses indispensables et les envies ! Par exemple, votre abonnement Netflix ou à la salle de sport n'est pas une dépense indispensable. Il fait partie de la catégorie des envies et doit donc être limité à 30% de votre budget.

Comment épargner avec la règle du 50-30-20 ?

Vous avez déjà été confronté à une dépense imprévue qui a mis à mal votre budget ? Vous aimeriez pouvoir partir en vacances ou changer de téléphone sans vous endetter ? Alors vous avez besoin d'une épargne de précaution. 

L'épargne de précaution, c'est une somme d'argent que vous mettez de côté pour faire face aux aléas de la vie. Par exemple, si vous avez une fuite d'eau chez vous, si vous perdez vos clés ou si votre voiture tombe en panne, vous aurez besoin de payer les réparations ou les remplacements. Ces dépenses sont souvent imprévisibles et peuvent être importantes.

Pour éviter de vous retrouver dans le rouge ou de devoir recourir à un crédit à la consommation, il est conseillé d'avoir une épargne de précaution équivalente à 3 à 6 mois de salaire.

Mais comment constituer cette épargne de précaution ? Le plus simple, c'est de mettre en place des virements automatiques vers un compte épargne dédié. Vous pouvez choisir le montant et la fréquence qui vous conviennent, en fonction de vos revenus et de vos dépenses. 

L'idéal, c'est d'épargner entre 10 et 15 % de votre salaire chaque mois. 

Il faut que votre compte épargne soit facilement accessible. Le livret A est une option classique, qui vous garantit un taux d'intérêt de 3 % par an, sans frais ni impôts. 

En résumé, l'épargne de précaution est un élément essentiel de votre gestion financière. Elle vous permet de faire face aux imprévus, de réaliser vos projets et de préparer l'avenir.

L'épargne de précaution : pourquoi et comment la constituer ?

Vous connaissez sûrement le Big Mac, le sandwich emblématique de McDonald's. Mais saviez-vous qu'il sert aussi d'outil économique pour comparer le coût de la vie et la valeur des monnaies dans différents pays ? C'est ce qu'on appelle l'indice Big Mac, inventé en 1986 par le magazine britannique The Economist.

Le principe est simple : il s'agit de prendre un produit qui a la même composition partout dans le monde et d'en comparer le prix dans chaque région. Le Big Mac remplit ces critères : que vous soyez à Paris ou à Pékin, vous aurez le même nombre de steaks et de tomates dans votre sandwich. Cela permet de mesurer la parité du pouvoir d'achat, c'est-à-dire le rapport entre le niveau de vie et le taux de change d'un pays.

Chaque année, The Economist publie donc un classement des prix des Big Mac à travers le monde, en prenant comme référence le prix du sandwich aux Etats-Unis, exprimé en dollars. Cela permet de savoir si une monnaie est sous-évaluée ou surévaluée par rapport au dollar américain. Par exemple, si un Big Mac coûte 5 dollars aux Etats-Unis et 6 euros en France, cela signifie que l'euro est surévalué de 20% par rapport au dollar.

Selon l'indice Big Mac, le franc suisse serait la monnaie la plus chère du monde, suivie par la couronne norvégienne et la couronne suédoise. A l'inverse, la livre égyptienne, le peso argentin et le rouble russe seraient les monnaies les moins chères.

Attention toutefois : l'indice Big Mac n'est pas une mesure exacte de la valeur des monnaies. Il ne tient pas compte de nombreux facteurs qui influencent le coût de la vie, comme les taxes, les salaires, les coûts de production ou les préférences des consommateurs. Il faut donc le prendre avec précaution et ne pas en tirer des conclusions hâtives sur l'économie mondiale.

L'indice Big Mac : comment un hamburger mesure la valeur des monnaies

47% des Français se retrouvent à découvert au moins une fois par an, et 20% tous les mois. Mais attention, il n'est pas sans conséquences :  les frais supplémentaires (agios) peuvent être très élevés. Voici quelques conseils pour éviter le découvert bancaire, ou le limiter.

Tout d'abord, il faut savoir si on a un découvert autorisé ou non. Le découvert autorisé, c'est un accord avec la banque qui permet de dépasser le solde zéro jusqu'à un certain montant, fixé dans un contrat. Par exemple, si on a un découvert autorisé de 300 euros, on peut être à -250 euros sans payer de frais. Par contre, si on dépasse les 300 euros, on paiera des agios et d'autres frais majorés.

Si on n'a pas de découvert autorisé, la situation est plus délicate. Dès qu'on est en négatif, même de quelques centimes, la banque prélève des agios, qui apparaissent sur le relevé de compte comme "commission d'intervention". Il existe deux types d'agios : les agios forfaitaires, qui sont fixes, et les agios proportionnels, qui dépendent du montant du découvert.

Le découvert bancaire est donc une solution à éviter autant que possible, car il coûte cher et peut entraîner des difficultés financières. Le mieux est de rembourser le découvert dès qu'on reçoit de l'argent, pour revenir dans le vert. Pour cela, il faut suivre régulièrement son solde de compte, et anticiper les dépenses.

Comment épargner avec la règle du 50-30-20 ?

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